L’Alliance des États du Sahel que qualifie le Président de la CEDEAO, Bola Tinubu de fantôme, est jusqu’à preuve du contraire mieux équipée que l’institution qu’il dirige, et qui perd de jour en jour de crédibilité auprès de la communauté. Le médecin après la mort, la CEDEAO a peur de s’effacer face au dynamisme de l’AES.
Le syndicat des chefs d’État (le second nom attribué à la CEDEAO), doit sortir des illusions et faire face à la réalité. Les réalisations efficaces de l’Alliance des États du Sahel, formée de cela quelques mois, ont presque comblé les trous creusés par certains dirigeants africain valet de l’impérialisme.
La CEDEAO de Umaro Sissoco Embaló à Bola Tinubu, a perdu sa valeur. L’institution qui est censée soutenir ses pays membres en cas de crise, a préféré vendre sa dignité pour nuire à ses propres frères. Ce n’est pas le moment pour Bola Tinubu de faire semblant. l’Alliance des États du Sahel n’a rien à envier à la CEDEAO. Au contraire, c’est une affaire de l’esclave dépasse le maître.
Les pays membres de l’AES n’ont fait que respecter leur engagement pour sauvegarder la souveraineté de leurs pays respectifs. La CEDEAO doit simplement avouer son échec et présenter des excuses aux pays offensés (Burkina Faso, Mali, Niger).
Le Président en exercice de la CEDEAO, Bola Tinubu doit mettre de côté des discours de plaisantins, inutiles quand on sait la maladresse commise par ce dernier tout au début du changement de régime dans des pays frères. Bola Tinubu doit apprendre de l’Alliance des États du Sahel, en ce qui concerne la bonne gouvernance.
Il n’est de nouveau pour personne. Bola Tibunu ne fait que plaquer les instructions reçues de ses chefs impérialistes. Leur mission, est de prôner la chute des pays membres de l’AES. Mais hélas, ces conspirateurs sont en retard par rapport à eux-mêmes.