Edition spéciale: Entretien Idriss Aberkane et Alexis Poulin
Poulin révèle que ce sont les autorités espagnoles qui se sont mobilisés davantage que les autorités francaise car Branco a fait valoir sa nationalité espagnole ce qui explique la célérité de sa libération. C’est Juan Branco qui s’est remis aux douanniers mauritaniens pensant être en zone sécurisée. Ces derniers l’ont remis aux autorités sénégalaises qui l’ont emprisonnés. Alexis Poulin dit que des ” …Troubles à l’ordre public, préparation peut être probable d’un attentat..des charges assez incroyables. Il s’agit bien sûr d’une utilisation politique de la justice. C’est malheureusement quelque chose qui est devenue la règle quasiment.
La batonnière de Paris même si elle n’est pas du même bord politique que Branco a été ferme en qualifiant l’arrestation de scandaleux a dit Aberkane. Les autorités francais on essuyé une défaite avec la plainte qu’elles avaient introduite contre Branco qui s’est soldé par un non lieu sur l’affaire du dossier CPI contre l’Etat du Sénégal. On sait la haine que toute la Macronie porte au jeune avocat qui a tapé avec son livre Crépuscule plein dans le milieu avec des révélations sur le système de lobby qu’ils ont mis en place. La soeur de Gabriel Attal, Fanny Attal a récemment menacé Branco en lui disant, dans un audio rendu public sur X (Twitter), vous êtes dans la merde pensant qu’il allait être condamné dans le dossier CPI. Gabriel Attal actuel ministre de l’education nationale, qui a fait les bancs avec Juan Branco ne décolore pas que ce dernier aie révélé son homosexualité. On sait sa proximité avec Macron qui lui même en veut personnellement à Branco qui a suggéré une affaire d’homosexualité le concernant dans le même livre.
Branco a une grande communauté en France, il est comme un Youssou Ndour en France dans le domaine politico-activisme. Ceux qui le traiten “d’Avocaillon” ne connaissent pas sa capacité de nuire et son entêtement dans les dossiers qui l’intéresse. Il est “Hardcore”.
Ce qu’il faut retenir c’est que Juan Branco a réussi a faire braquer les projecteurs sur les actes posés par la justice sénégalaises. Et ce sont les journalistes de premiers plans eux mêmes qui utilisent les termes “Utilisation politique de la justice” et d’en faire des débats qui n’auraient sans doute pas lieu s’ils n’avaient pas arrêtés Juan.
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